On recense ici les cartes de Limoges qui ne font pas partie des séries générales des éditeurs. Elles sont classées en chapitres thématiques, inspirés des travaux de Gérard Neudin. Souvent ces vues font référence à un événement précis et jouaient le rôle des reportages à une époque où les journaux ne publiaient pas de photos.
S'y ajoutent les clichés édités à l'occasion de fêtes, de funérailles d'hommes célèbres, d'événements politiques et religieux, de manifestations commerciales, pour les soldats ou le commerce… de Limoges. Il n'est pas toujours facile de situer les éditeurs, soit parce que les cartes ne sont pas signées, soit parce que leurs auteurs n'ont édité que des clichés occasionnels.
Les séries sont classées par thèmes, volontairement limités à 12, précédés d'une introduction. Elles sont présentées chronologiquement à l’intérieur de chaque chapitre dans l’ordre suivant :
1. Séries signées.
2. Séries non signées mais dont l’éditeur a été identifié.
3. Séries anonymes et divers.
C'est donc la date et le titre de l'événement qui justifient le classement. On trouvera ci-contre la description générale des séries de Tesson, toutes identiques, afin d’éviter d’inévitables répétitions à chaque série.
La recherche et la consultation peuvent se faire de plusieurs façons :
- par le nom de l'événement ou le thème (si la production de cartes est variée, d'origine incertaine ou même inconnue) ou par un nom propre.
- par la date de l’événement,
- par le nom de l'éditeur, s'il est connu.
Cette méthode de classement nous permet parfois de faire figurer dans ces listes des cartes-photos dont nous savons qu'elles existent en plusieurs exemplaires même si elles sont de fabrication artisanale, à usage privé ou à destination d'une entreprise ou d'une association. Ce sont des documents rares et leur intérêt est incontestable.
Chaque fois que possible, un aperçu biographique accompagne la liste. Pour coller à l’actualité, je suis parfois allé puiser mes informations dans les journaux et les almanachs de l'époque : je ne garantis pas l’objectivité de leurs commentaires.